🚨 CRIMES DE GUERRE : CE QUE LA RUSSIE FAIT AUX SPORTIFS UKRAINIENS

Elizabeth Chevtchenko, une jeune judokate ukrainienne, est l’une des nombreuses victimes de la brutalité et de la violence exercées par la Russie contre les sportifs ukrainiens. Son histoire, qui s’est déroulée dans la région de Tchernihiv, est un témoignage saisissant des atrocités subies par les civils innocents victimes de l’agression russe.

Elizabeth a survécu à 27 jours de calvaire, emprisonnée par les Russes dans des conditions inhumaines. Elle a enduré des souffrances inimaginables et elle a été forcée d’assister à l’assassinat de son oncle, abattu devant ses yeux par les forces Russes qui ont également kidnappé son père. Pendant cette période infernale, Elizabeth et plus de 300 autres personnes, dont 60 enfants, ont été enfermées dans une cave sans électricité, eau ou nourriture. Entassés et suffoquant, certains sont morts étouffés.

Elle n’a plus jamais revu son père depuis son enlèvement et ignore s’il est toujours vivant.

Libérée en mars 2022 par l’armée ukrainienne, Elizabeth porte encore les cicatrices de ces horribles expériences. Malgré cela, elle a démontré une résilience extraordinaire. Déterminée à surmonter l’horreur qu’elle a vécue, elle a repris l’entraînement de judo avec une force renouvelée. Son courage et sa détermination l’ont menée à remporter le championnat national, et elle rêve désormais de participer aux Jeux Olympiques.

🚨 Voilà les conditions dans lesquelles s’entraînent les sportifs ukrainiens.

Tant que les bombes russes continueront de pleuvoir sur l’Ukraine, les athlètes russes et biélorusses ne devraient pas être autorisés à participer aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Nous ne devons pas permettre à la Russie de transformer Paris2024 en jeux du sang. Les crimes de guerre commis par la Russie doivent être punis, et la communauté internationale doit se tenir aux côtés des victimes, comme Elizabeth, en leur offrant soutien et justice.

#BloodGames2024

Pour plus de détails sur le témoignage d’Elizabeth, vous pouvez lire l’article complet dans le journal L’Équipe ici.